Les compagnies rappellent en effet qu'elles ne sont pas en bonne situation pour supporter les coûts de cette intégration qu'elles estiment à 3,5 milliards d'euros. Ulrich Schulte-Strathau, le secrétaire général de l'association des compagnies européennes évoque la combinaison du ralentissement économique, d'un fort déclin dans les affaires et la confiance du consommateur et l'inflation des prix des carburants. Selon lui, au final, l'inclusion dans le système d'échange de quotas revient à mettre en place une taxe déguisée sur le kérosène.
Article publié le 27 octobre 2008